Mostrando entradas con la etiqueta Cuentos. Mostrar todas las entradas
Mostrando entradas con la etiqueta Cuentos. Mostrar todas las entradas

18.2.11

Julia

Fall is almost there. Leaves are starting to cover the road, the path, the grass in Julia's garden. It is a very special day, and Julia and her lovely granny are on the way to the school. Today is her first day of school after a long summer in Spain.

*****

Aujourd'hui, c'est un jour spéciale. Comme tous les premiers jours d'école, nous y sommes allées a pied. Elle éteit très heureuse: elle aime utiliser des choses par premier fois. Tout doit être neuf le premier jour, de la veste aux crayons.
Elle ne connait aucune de ses camarades parce que ses parents ont dû se déménager -ils vivavient à Houston, maintenant ils vivent à Chicago. Il n'y a pas de problème, elle aime des changements. En plus, quelqu'un lui a dit qu'il y a des bonnes pâtisseries là.
Pour Julia le premier jour d'école est son premier jour de l'année. Son année ne commence pas le premier janvier, elle commence le premier jour d'école. Et c'est pour cela que, ce jour, elle écrit ses propos pour l'année qui commence. Elle le fera l'après-midi, quand elle reviendra de l'école.
Maintenant je l'attends.

2.3.10

J'étais malade et il pleuvait...

J’étais malade et il pleuvait. Les gouttes de pluie glissaient sur la vitre de ma fenêtre. Les gens dans la rue se promenaient couverts par leurs parapluies. Les chiens se cachaient sous les voitures qui étaient garées. La nuit et la complète obscurité s’approchaient. Je n’avais pas sommeil. J’étais restée chez moi toute la journée à dormir parce que... que peut-on faire d’autre quand on est malade et il pleut ? J’avais essayé de regarder la télé, de lire, d’écouter de la musique et de faire des mots croisés, mais je m’endormais.

J’étais couchée sur le canapé, couverte par un vieil édredon. Le sommeil essayait de s’emparer de moi quand, voulant le vaincre, j’ai pris une revue qui était sur la petite table. C’était une revue de cuisine ! Pourquoi est-ce qu’il y avait une revue de cuisine sur la table de ma salle de séjour ? Je n’ai jamais acheté de revue de cuisine et mes amies, qui étaient venues dernièrement, n’avaient apporté aucune revue, elles avaient apporté des chocolats et des biscuits, mais rien à lire parce qu’elles savent que je n’aime pas cela. Donc, qu’est-ce que cette revue faisait là ce moment-là?

Puisque, à ce moment-là, je n’avais aucune réponse, j’ai commencé à la lire. Trois pages après, je me suis rendu compte qu’il était beaucoup plus amusant de regarder les photos. J’ai commencé à avoir faim et j’ai décidé de cuisiner n’importe quoi. J’ai regardé mon réfrigérateur. Il était triste. Je l’ai ouvert et il n’y avait qu’un peu du lait, du beurre et un œuf, mais dans le garde-manger il y avait un paquet de sucre, un autre de farine et un pot de cannelle. Il était vingt-trois heures et demie et je commençais à jouer dans ma cuisine pour vaincre le sommeil.

Deux ans après, je peux dire que grâce à ce jeu, j’ai non seulement vaincu le sommeil, mais j’ai aussi gagné une autre chose. Cette nuit là, j’ai gagné une profession. Aujourd’hui, je suis la fière propriétaire d’une petite pâtisserie-cafétéria au-dessous de chez moi où on peut manger les meilleurs biscuits au beurre du monde.

14.12.09

Un soir de Noël

Nous n’étions pas encore arrivés, mais je pouvais déjà distinguer la maison de mes grands-parents. C’était la dernière maison de toute une rangée de maisons illuminées avec des lumières de Noël. Quand mon père a arrêté la voiture en face de la maison, j’ai commencé à sentir un chatouillement dans l’estomac, j’étais très nerveuse. J’aimais Noël !

Le chemin de pierres était bordé avec des lumières blanches, comme aussi les arbres. Tout le jardin était décoré de manière exquise grâce à mon grand-père, il le dessinait chaque Noël, il aimait aussi cette époque de l’année. Lui et ma grand-mère nous attendaient sous le porche. Elle portait un tablier, parce qu’elle avait cuisiné pendant toute la journée, et il portait le gros pull-over que nous lui avions offert le Noël précédent. Je suis allée rapidement les embrasser.

Toute la maison sentait les biscuits et il était illuminé avec de grandes bougies. Nous nous sommes tous assis autour de la table et nous avons commencé à manger tout ce que ma grand-mère avait préparé. Il y avait une salade, des crevettes, des moules et des coques comme entrée ; comme premier plat, il y avait une soupe de légumes ; comme second plat des calmars farcis. Mais, le meilleur a été les desserts. Elle avait fait un gâteau au chocolat et aux amandes et aussi des biscuits au beurre. C’étaient délicieux !

Après le repas, nous nous sommes réuni pour parler, chanter des chants de Noël et jouer aux cartes en face de la cheminée. Cette nuit-là nous avons dormi à la maison de mes grands-parents espérant que, le matin suivant, il y avait beaucoup de cadeaux sous le sapin de Noël.

17.11.09

Julia

Julia has received for her 13th birthday "the cutest notebook I have ever had". Her granny is who has given it to her, and as Julia is happy, she is happy too. But, what Julia doesn't know is that her lovely granny has the same exact notebook and that she is going to start writing about her granddaughter. She is going to write a very special diary about the girl who fills her life with joy.

*****

Elle aime lire des blogs. Oui, Julia aime lire des blogs de personnes inconnues qui écrivent sur des voyages ou la cuisine, spécialement sur les desserts. On peut penser qu'elle est un peu commère, mais ce n'est pas ça: voyager et cuisiner sont ses loisirs. Julia a treize ans.

23.9.09

Idéntica situación Idéntico deseo

Y ahí estábamos nosotras.

Olvidadas.

Una detrás de la otra. Dobladas sobre la jefa. Abrazadas por unas frías y delgadas piezas que nos mantenían unidas frente al traqueteo de nuestro día a día.

Olvidadas.

Sobre una superfície plana y extensa. Viendo gente pasar. Esperando que una mano amiga nos llevase a casa.


Dúnia

12.6.09

Los Espias Espiados


Sus ojos estaban en los rincones más insospechados. Lo sabían todo, no había secretos para ellos. O eso pensaban. Un día vieron como imprimían en la portada del periódico algo que sólo habían visto ellos. ¿Cómo podía ser? En la misma página, en letra pequeña, ponía: “mira a tu alrededor, nunca estás tan solo como piensas”. No se creyeron nada de lo que estaban leyendo pero, por si aquello era verdad, se dispusieron a dar una vuelta completa. Al volver al frente, no podían cerrarse, estaban atónitos. Tenían a la mitad del pueblo tras ellos, ¿les habrían espiado todos los años que ellos llevaban espiando?

Dúnia

3.6.09

Oració Impossible

Cap a la mitja tarda d’un especial i assolellat dia de primavera de fa ja uns anys, a la petita esglèsia del segle XVIII construïda pels seus avantpassats que, aquell dia, estava decorada amb les mateixes flors amb què estava fet el seu ram i ambientada amb exquisida música clàssica reproduïda per uns amics del seu futur marit; ella, la filla gran de la meva millor amiga de la infancia que feia més de deu anys que no veia –ja que es va haver d’exiliar a l’Argentina– , esperava allà, dreta, davant de tots els convidats, perfectament vestida i envoltada d’un halo de tranquilitat, que el seu promés, un jove arquitecte francés de renom i de bona familia amb qui havia estat sortint durant nou anys abans de decidir-se a donar aquest gran pas, digués si.


Dúnia

28.5.09

Dinamarca

Estaban a punto de salir del aeropuerto y emprender su camino hacia el hotel. La distancia que les separaba de su destino la podían cubrir en cuatro minutos (según les dijo la señorita de la oficina de turismo). Se pusieron los abrigos y los guantes y emprendieron su camino hacia el hotel mientras tiraban de sus maletas. De repente, empezaron a sentir pinchazos en la cara y las manos. El fuerte viento sólo les permitía dar pequeños pasos. Notaban el pelo enganchado a la cara. Cuando sólo quedaban unos segundos para llegar al hotel, dejaron de sentir las manos y la cara les dolía. Una vez a cubierto, pudieron mirarse y, tras reír durante un rato, dijeron: ¿Por qué no informan en las guías turísticas de lo peligrosa que es la lluvia danesa?

Aarhus

Aarhus

Ribe

Dúnia

26.5.09

Misterio en Manzanalandia

Un día como cualquier otro, las mamás fueron a buscar manzanas al manzano que estaba a las afueras de la ciudad. Pero el árbol se había declarado en huelga. ¡No había frutos! Las mamás decidieron esperar unos días. Al cabo de una semana, se acercaron allí de nuevo pero, esta vez, no volvieron. Desde entonces, en ninguna casa hay mamá aunque, sorprendentemente, sí tartas de manzana, compotas de manzana, zumos de manzana y manzanas cada mañana en las cocinas. ¿Dónde estarán las mamás? Creo que tendremos que preguntárselo al árbol.

*Imagen de Ellen Kooi (magnífica fotógrafa holandesa) en la que me inspiré para escribir este cuento. Podéis ver su trabajo en su web*


Hablando de mamás, os presento la tarjeta/librito que le hice a mi mamá para el Día de la Madre:
Dúnia

25.5.09

Kikiriki?

Marta, vivía en la granja de sus padres. No le gustaba demasiado trabajar en ella pero era lo que les daba de comer así que no tenía otra opción. Un día, sus padres, viendo que ponía mala cara cuando se disponía a empezar a trabajar, le preguntaron: ¿qué tarea es la que más te gusta? Sin pensárselo dos veces, Marta respondió: Me encanta trabajar en el corral. Y así era, existía una adoración mutua entre ella y el gallo. Pues lo había visto nacer, lo trataba como si fuera su hermano, lo acariciaba, le explicaba sus secretos y le daba el mejor pienso. Por su parte, él, cada vez que Marta entraba en el corral, no se despegaba de ella, la seguía hasta que salía de allí.
El día dos de mayo, como cada día, el gallo cantó al amanecer e hizo que Marta despertara con una sonrisa en la cara. No había cantado su diario kikiriki, no, ¡había cantado veintiuno! Era el cumpleaños de su querida Marta y ésta era su manera de decir: ¡Feliz cumpleaños!


Dúnia

24.5.09

Sueños

Se despertó asustada, inquieta. Acababa de tener un sueño no demasiado agradable. Estaba cenando en un restaurante con sus padres y su prometido. Cuando, de repente, notó unos pedacitos dentro de su boca, no era comida, no; así que se levantó y fue al servicio de señoras. Se paró ante el espejo de hierro forjado que colgaba sobre el lavamanos, abrió la boca y vio que los trocitos eran parte de una muela. Los había escupido sobre la palma de la mano cuando sintió que la muela contigua a ésa también caía. Y allí estaba ella, mirándose al espejo con dos de sus muelas sobre la mano y la mandíbula desencajada del susto que se había llevado. Salió del servicio y se dirigió a la mesa donde comían, les explicó lo sucedido y… despertó de un salto. Eran las 8.36 de la mañana. Sin pensárselo dos veces, llamó a su prometido, necesitaba escuchar su voz, necesitaba que sus palabras la calmaran.

¿Qué significan los sueños?


Dúnia